Poules 2021

El macho...

Encore des naissances en cours. J'avais arrêté la couveuse par erreur pendant quatre heures. Il faisait 6°, mais apparemment, cela n'a pas influé sur l'incubation ; ça ne me surprend guère quand je vois parfois les poules abandonner le nid une demi-journée.

Tout a fait, et les pigeons sont encore pires, pour la dernière couvaison, la femelle avait carrément abandonné les oeufs. Deux pigeons sont nés mais un n'a pas survécu.

Trois sont nés. Demain, je tenterai de les rajouter aux six qui sont déjà élevés par la poule. Mais je crois qu'il vont morfler car elle n'est pas commode.

MORFLER: un nouveau mot pour moi.

Ici on utilise MORNIFLE comme dans "tu vas recevoir une mornifle si tu n'arrêtes pas de m'embêter".

Ça signifie, recevoir une baffe...

Peut-être que ça vient de Morfler????

Bonjour,
Extrait de TLFI :

« MORFLER, verbe trans.
Argot
A. Recevoir, encaisser (un coup, une balle, un ennui). Morfler une beigne, une gifle, une tarte. Si j'avais morflé un coup de masse sur la gueule, tu ne serais pas venu me plaindre (B. CLAVEL, L'hercule sur la place, 1971, p.272 ds CELLARD-REY 1980).
Emploi abs. Évite de bouger, sinon tu morfles, lui décoche René Lambert de sa voix parisienne (A. LE BRETON, Les Pégriots, 1973, p.106, ds CELLARD-REY 1980).
B. Subir (une condamnation). Synon. écoper. Avec deux meurtres et trois braquages, Loulou le Tunisien était sûr de morfler le maxi, aux assiettes de Versailles (LE BRETON 1960).
Prononc.: [], (il) morfle []. Étymol. et Hist. 1926 «recevoir, encaisser» (d'apr. ESN.). Var. de morfiler «manger» (1821, ANSIAUME, Arg. Bagne Brest, fo 7 ro, §95; morfiller, 1800, LECLAIR, Hist. des bandits d'Orgères d'apr. ESN.); lui-même issu, soit de morfier «manger gloutonnement» (v. morfaler), soit, par substitution de suff., de murfel(e)n, forme dimin. germ. et néerl. de murfen «ronger»; cf. FEW t.16, p.582a. »

Ce mot est, ici, assez couramment employé, dans le sens de : recevoir des coups (au propre ou au figuré)
Quand on rajoute des poussins à une poule qui en a déjà, souvent, ils dérouillent. Elle ne les veut pas, les pique. Pour les derniers, en décembre, j'en avais rajouté un qui était né trois jours après les autres. Le matin, je l'ai retrouvé, mort et la tête en sang. Parfois, dans le temps, on coupait le bout du bec de la poule, mais ça ne marchait pas toujours. Les coups du bec arrondi, assommaient le poussin. Pour les cochons, c'était pareil. La truie croquait le porcelet rajouté. On attachait parfois la gueule de la truie avec du fil de fer, le temps qu'elle s'habitue. Pour les vaches, c'était la même chose. Avant de mettre un nouveau veau, on recouvrait le sien avec une couverture durant plusieurs jours. Puis on la mettait sur le nouveau veau, mais ça ne fonctionnait pas toujours.

wow! ce sont de bonnes astuces mais pour les poules quand j'en achetais a la COOP les poules avaient déjà le bec coupé donc j'imagine que les producteurs font ça le plus tôt possible pour l'animal?

J'ignorais que cela se faisait encore.
Voilà mes trésors :

Il fait 7° ; ils ont froid et moi aussi. Direction la lampe chauffante pour eux et le radiateur électrique pour moi, avec en prime le fauteuil et les couvertures en attendant des jours meilleurs.

Il y a environ 2 ans, on a eu des poules pondeuses venant de 2 couvoirs différents.

Certaines avec le bec coupé et les autres non.

Effectivement dans les élevages importants, avec la promiscuité les poules ont tendance à se piquer. C'est pour ça que l'on coupe le bec, sinon il y a des méthodes plus modernes comme les lunettes anti-piquage.