Comment perdre 100 kilos sans exercise?

BRAVO...

C'est vicieux ce problème car ça affecte tout doucement les organes.

Exact. C'est d'ailleurs fort probablement la raison pour laquelle les reins de belle-maman ont cessé de fonctionner et qu'elle survie désormais grâce à l'hémodhyalise. C'est pas une fin de vie très enviable!

Je suis aux pilules Metformin quant à moi, en prevention car je suis ''border line'' diabétique.

Même chose pour moi... MetFormin 750mg matin et soir.


Mon voisin avait perdu le contrôle complètement... Glycémie en haut de 20 régulièrement.

Son médecina prescrit ??? qui fait pisser le sucre. Il est à 4.0 environ.



Donc de l'espoir pour Pierre et moi...

Komboglyze matin et soir, Metformine 1000 et Glyclazide le midi.

C'est sûr que sur le long terme, ça n'arrange pas les autres organes mais bon, l'usure sera un plus rapide. Peut être que ça m'évitera de fêter mes 100 ans en maison de retraite au fond d'un lit.

Hola, tu soulève un grand dossier...

Veut-on vraiment vivre très vieux et malade???

Ma mère de 98 ans et 4 mois est décédée récemment. Ça fait au moins 3 ou 4 ans qu'elle "n'était plus là".

Moi, ça ne m'intéresse pas. Je veux avoir le droit de commander ma fin de vie...

On a fait de grands pas depuis 2 ou 3 ans au Québec et au Canada, mais c'est limité.
- Il faut être atteint d'une maladie qui provoque une mort certaine dans un délais pas trop lointain.
- Tu dois être encore assez conscient d'esprit pour le demander toi-même.


Avec l'Alzheimer, ton espérance de vie est de plusieurs années, et ta capacité de demander toi-même, à ce mjoment-là, ta fin de vie, NUL.

Alzheimer, ce fut la fin de vie de ma mere! Pas jojo du tout!

Serais-tu donc un autre PRO comme moi du choix personnel de décider à mourir?

Il y a tout un débat à faire sur les conditions...

J'y reviendrai un jour car ma réflexion n'est pas complète.

En fait Le Forestier, pour moi, ça ne date pas d'hier cette question. Mon père est décédé du cancer du poumon il y a plusieurs années. Bien avant que la question du choix soit d'actualité. Mais mon père avait passé une entente avec sa doc. Il refusait toute prolongation inutile. C'était délicat à l'époque car la doc pouvait être accuse de meurtre.
Néanmoins, elle avait fini par accepter de fournir une fin de vie....sans souffrance inutile. Sauf que l'entente a transféré sur mes épaules à moi, le choix du moment. La doc avait simplement laissé au bureau des infirmières à l'hôpital la prescription finale. À moi de m'y rendre afin de commander l'administration de la dose massive de morphine finale.
Ben sais-tu, j'ai jamais complètement réussi à me sortir ça de la tête. J'ai tué mon père. J'ai longtemps eu du mal avec ça par la suite. Tsé, j'avais beau me raisonner, savoir que c'était à la demande de mon père.....rien n'y faisait. J'étais très mal à l'aise avec ça!

Oui, je suis pour et j'aimerais pouvoir prendre la decision lorsque ça me concernera. Mais pas question d'impliquer l'un de mes proches et lui mettre la decision du moment sur le dos. C'est con mais....c'est délicat aussi!

Je suis comme vous, j'aimerais avoir le choix et pouvoir l'assumer seul. Le gros point d'interrogation est effectivement de savoir comment fonctionnera le cerveau le moment venu.
J'ai ma mère qui est en maison depuis une bonne quinzaine d'année, et cela fait maintenant dix ans qu'elle n'a plus sa tête, elle vient de fêter en mai son 100 éme anniversaire.
Tous les frères, nous savons qu'elle ne voulait pas finir au fond de son lit comme ça, mais il n'y a rien à faire. En fin d'hiver, elle a fait une pneumonie doublée d'un avc, le médecin n'a rien pu faire d'autre que de prescrire un traitement, et là la petite flamme c'est rallumée avec encore un peu moins de vigueur.

C'est ce bout là qui est dégueulasse. Je ne voudrais pas faire vivre ça à mes proches, me voir decliner sans être en mesure de dire: Ça suffit, foutez moi une piqouse et qu'on en parle plus! C'est une question extrêmement sensible et emotive!

De là la nécessité de réussir à définir une terminologie permettant d'exprimer avec exactitude nos volontés de manière à ce que ce soit compréhensible pour le médecin sans avoir à impliquer émotivement nos proches.

Ce n'est pas pour demain mais, on y arrivera...

Heureusement, les médecins ici sont ouverts à ne pas faire d'acharnement et à donner des soins de fins de vie paisibles.