Bonnnnn....la clôture!

Pfffffffffff....c'est que c'est une lonnnnnnnnnnngue histoire! Ce que j'aime chez Michel, c'est sa merveilleuse capacité à synthétiser!
Moi, j'ai pas ce talent là!
Faque....Il était une fois, un ancien chasseur qui ne chassait plus depuis très longtemps. Il avait néanmoins conservé toutes ses armes à son chalet. Mais, alors qu'encore marié à sa première épouse, donc, n'occupant le chalet que les weeks end, un jour, de petits voleurs s'introduisirent dans le chalet esseulé et s'emparèrent de tout ce qui avait de la valeur. Mes armes disparurent définitivement. Donc, la chasse sortie encore davantage des pensées du vandalisé. Divorce suivi avec occupation à temps plein du chalet en question.
Puis....plus tard, une jeune femme d'origine Brésilienne refit battre le vieux coeur échaudé. Au point qu'elle vint s'abriter de la pluie sous le même toit vert que pépère ex-chasseur. C'est alors qu'elle constata que le lac du chalet à pépère se remplissait de milliers d'oies blanches et outardes l'automne. Or, la petite Brésilienne avait un défaut. Elle était un véritable ogre, surtout toujours à la recherche de viande fraîche, provenant d'animaux qu'elle n'avait jamais dégusté auparavant. En fait, Fabi a une marotte, goûter à tous les gibiers du Canada! Elle a déjà le chevreuil, l'orignal, le lièvre, la perdrix, le bison à son actif. Elle aimerait lors d'un pow-wow autochtone pouvoir goûter à l'ours et au castor. Je me demande si elle n'a pas aussi pensée à la marmotte, à l'écureuil ou à la belette! Elle est capable de tout côté bouffe je pense!
Donc, toutes ces oies sous son nez lui mettent l'eau à la bouche et encombrent le plancher de salive qui risque de tuer quelqu'un si je n'y met un terme!
Sur ces entrefaits, vla mon voisin (et ex beau-frère) qui m'offre de l'accompagner à la chasse aux oies. Pas sur notre lac, nous ne voulons pas déranger les oiseaux, le spectacle est trop extraordinaire. Il me dit qu'il a un endroit au bout du rang qu'il sait fréquenté par les oies qui viennent s'y gaver en champ et qu'il a l'autorisation du proprio qui est un ami. Il sait que je n'ai plus d'armes mais j'ai toujours mon permis de port d'arme. Il m'offre de me prêter son vieux fusil d'avant guerre, calibre 12. Bon, je passe chercher mon permis de chasse pis c'est parti.
Voilà pour ce soir!

un début lâche pas :tchin:

Quoi!!!!!!!! gre....... Pierre t'es pas correct pantoute!!!!

Ne synthétise pas, surtout

Bin hate de lire comment tu vas raconter ça

figurez-vous que c'est la lecture de cette histoire, déjà racontée sur le net en 2004 sur un autre forum (Bernard si tu me lis :révérence: ), qui m'a amenée à faire la connaissance virtuelle de Pierre puis à débarquer chez Poulailler, ancêtre de la basse cour, puis au Québec pour de vrai!

Mon dieu que le temps passe vite, cinq ans déjà!!!! :*silence*:

Mamie Isa vient de se rappeler "Un còp èra"

Flute! Je manque de temps. Ces temps-ci, je suis dans le paufinage de mon ptit reportage photo sur ma balade à moto sur la Côte-Nord. Imaginez-vous donc qu'une revue de moto serait intéressée à me publier. Alors, bien sûr, c'est la gloire et la fortune qui se présentent à moi sur un plateau d'argent! Ils m'offrent un gros 75 piastres pour mon truc. Je ne peux me permettre, si je veux retourner un jour au Brésil, de rater ce pactole!

Hey, t'as raison, pas pour ta poignée de dollars, mais pour la postérité. Avoir sa balade dans un bouquin national, wouahhhhhhhhh, faudra nous le monter absolument, ça arrive pas tous les jours

Bin ça c'est le fun Ça sortira probablement au printemps et j'promet de l'acheter si tu nous donne le nom de la revue.

On retrouveras peu être un jour l'hitoire de la cloture dans une revue "chasse et pêche"

On retrouveras peu être un jour l'hitoire de la cloture dans une revue "chasse et pêche" [/quote]

Ban c'est ça en attendant ben on attend encore!!! C’est nous qui devrions avoir l'exclusivité sur l’histoire de la fameuse clôture!!

Nous voilà donc partis pour le bout du rang. Arrivé à la ferme, on laisse la bagnole dans la cour et on entreprend de se rendre au champ où on a prévu chasser. Pour s'y rendre, on passe dans le chemin de terre qu'emprunte aussi bien le tracteur que les vaches lors de la traite. Ce chemin est bordé et de clôtures électriques. Également, la barrière est composée de fils électrifiés. Bien sûr, une poignée plastifiée permet aux humains de la manipuler sans se faire dresser les cheveux sur la tête. Donc, c'est sans problême que nous empruntons ce chemin et je prends bien garde de le suivre en me tenant à distance de la clôture. Plus loin cependant, il nous faut couper pour traverser en biais une série de champs juxtaposés. Or, chacun de ces torbinouches de champs est enclos par des fils électriques. Heureusement, pas trop hauts. Je les enjambes donc avec le plus grand soin, prenant bien garde de tenir mon fusil haut et de me ramasser le fond de culotte. Je me suis chaussé de mes bottes de chasse habituelles qui sont en cuir, mais depuis plusieurs années entreposées, j'ai omis de leur redonner une bonne couche d'imperméabilisant. Or, les champs s'avèrent extrêmement humides et boueux. Plus ça va, plus on marche et plus je sens l'humidité à l'intérieur. M'enfin, pas grave, on ne sera pas ici ben ben des heures.
On trouve l'endroit idéal. Un champ qui était semé de grains et où il y a plein de fientes d'oies. On s'est emporté des tas de sacs de plastique blancs et des bouts de branches. On plante les branches autour de nous sur lesquelles on fixe les sacs blancs comme appeaux pour les oies blanches. Ceci fait, on amasse plein de paille résiduelle dans le champ autour, on place un sac poubelle vert sur le sol, on se couche dessus puis on se couvre de paille afin de disparaître. L'attente commence. À la longue, le sac poubelle devient plutôt inconfortable, extrêmement froid, pis...quant à moi, j'ai dû choisir un creux car je sens comme une petite infiltration d'humidité. Ou peut-être mon poids m'enfonce-t-il lentement dans la gadoue, toujours est-il que l'aspect humide n'en demeure pas moins réel! Pis pas question de bouger un poil de fesse pour se dégourdir un peu, ben sûr! Jusqu'à ce que finalement, OINKKKK OINKKKK OINKK! Sacrebleu, les vla les oies! Les yeux pleins de paille, t'essaie de te faire une idée d'où elles se trouvent, mais elles suivent rarement ta planification. Faque elles t'arrivent de derrière pis tu vois rien pantoute. Jusqu'à ce qu'elles soit pratiquement rendues sur toi. Pis là, BAOUMMMM, BAOUMMMMM, BAOUMMMM! L'estie de tarlet de beau-frère, comme d'habitude, n'attend personne et se sert! Nous avions convenu de leur laisser poser une patte au sol avant de faire feu! Ce gros con n'en fait toujours qu'à sa tête! Il m'a si bien pris par surprise que la tête m'est entrée dans les épaules à son premier coup. Le temps qu'elle m'en sorte, il a son second coup de tiré, j'arrive au troisième et manque ma cible! Pfffff, avec l'arquebuse qu'il m'a prêté, chaque changement de balle fait tomber le fusil en morceaux distincts. Méchante job que de devoir remonter l'arme à tous les coups. Donc, jamais je ne parviendrai à tirer plus d'un coup par voliers. Lui en a abattu une, moi zéro. Mais déjà, d'autre can cans annoncent l'arrivée des suivantes. On s'empresse de s'empailler! Cette fois, je me méfie davantage de mon épais de coéquipier et me dis, attends toi mon simonac, c'est un ptit jeu qui se joue à deux que de ne pas attendre l'autre. Cette fois, je me suis couché sur le dos, meilleure vue! En voilà un autre groupe. Lorsqu'elles sont à portée de tir, je surgi de sous ma paille comme un daible de l'eau bénite, vise bien et BAOUMMMM! Tiens toi! M'en vla une! J'ai pris gros connard de vitesse!

OINKKK ! OINKKKKK !!!!!! On ce croirais au coin du pêcheur ... mdr

Pierre: maudit qu'elle est bonne. j'ausais aimé être une tite mouche pour voir et entendre ça.

Passionnante histoire

tu as vraiment un don pour les histoires on s`y croirais presque avec vous coucher sous la paille sur le sac qui lui etais dans la bouette
on ne pourrait esperer plus de detail :super:

Donc, l'histoire se poursuivant, le beau-frère abat passablement d'oies blanches, moi, me contentant d'une seule. Faut maintenant aller les récupérer. Je m'offre gentilment! Mais les oies sont toutes tombées dans le champ suivant, pas dans celui ou l'on est. Je m'avance vers elles, pour me rendre compte qu'entre le champ ou nous sommes et l'autre, il y a un fossé d'égouttement. Mais, ça semble s'égouter beaucoup car le fossé est assez large. Lorsque j'arrive au fond, me tenant après les herbages pour ne pas débouler, je jauge la largeur du fleuve qui coule au fond, pas 100% certain d'avoir la musculature suffisante pour sauter de l'autre côté! Mais.........tout le monde ici a déja vu ces canaux, creusés par les cultivateurs pour évacuer les surplus d'eau! Lorsqu'il y a 4 pouces d'eau la-dedans, c'est la fin du monde! Donc, je me dis qu'au pire, il en entrera peut-être une goutte dans mes bottes! Me voila donc, tel un léger papillon, gracieux dans mes courbes parfaites, m'envolant pour l'autre rive! Au milieu du parcours, le doute m'envahi, tel un destructeur de rêve! Le doute avait raison! Je n'atteindrai pas l'autre rive! ORRRRRRRRRR! Cet esti de canal n'est PAS un canal ordinaire! Quand bien même j'essaierais de vous faire un roman et que je vous disais qu'une merveilleuse plage tropicale, bordée de palmiers m'attendais de l'autre côté, vous ne me croieriez pas! La main de l'homme était passée par la! (désolé, j'ai perdu mes accents, sais pas ou!) L'estie de pelle mécanique qui nous avait précédé dans ce canal s'était rendue au maximum de son simonac de backet! Je m'enfonce donc dans le liquide, jusqu'au dessus de la taille! Ben tiens! J'ai la curieuse sensation qu'il n'y a pas que mes bottes qui ont écopées! Pis, sais-tu? C'est frette en joualvert! J'avoue vivre la SURPRISE de ma vie! Simonac, c'est pas un canal d'égouttement, c'est une rivière amazonienne sans la température! Je m'extirpe du bourbier tant bien que mal....plutôt mal si on tient compte de mon surplus d'humidité! Une fois de l'autre côté, je récupère les oies. Y en a pas mal! Pour l'oie blanche, je crois me souvenir que la limite est de 10 par jours ou sans limite. Je n'en ai qu'une seule, le beau-frère 8. Ben ça fait une charge sais-tu, 9 oies au bout des bras! De retour au canal, je lance les oies au beau-frère intelligemment au sec. Pis me voila pris pour me relancer moi-même. Mais cette fois, pas totalement débile quand même, je cherche l'endroit ÉTROIT! Je le trouve et me réenvole avec succès! Une fois sur l'autre rive, on entreprend le chemin inverse pour le retour. Toujours pas totalement con, je me sais humide en diable, donc, excellent conducteur d'électricité! Est-ce que je me méfie comme de la peste bubonique des fils électriques qui servent de clôture a ce maniaque de l'électricité de cultivateur vous pensez? OUI est l'unique réponse acceptable! Je redouble, que dis-je, je quadruple ma prudence lorsque je dois enjamber un fil! Je me tiens le fond de culotte comme personne ne se l'est tenu avant moi! Je hausse les têtes des oies presqu'a une hauteur ou elles n'ont jamais volées! C'est clair, je ne me ferai pas prendre! Pendant ce temps, les pieds me glougloutent dans mes bottes de cuir, détrempées au point de pouvoir les tordre! L'eau n'y pénètre plus, elle en jaillit! Je ne subi plus la gadoue, je la crée!

Pfeuuuuu.... vous pensiez que j'allais m'électrocuter? Rêve! Vla le tout dernier fil! Celui-la passé, nous nous retrouvons hors champs, dans le grand chemin qu'emprunte le trateur et les vaches pour se faire traire! Gna Gna Gna! Je passe ce dernier fil avec la même prudence que les précédents! AVEC SUCCÈS! YÉÉÉÉÉÉÉÉ! N'ayant plus rien a craindre, je me détend et me met a jaser de notre chasse avec le beau-frère!
C'est alors que: OINKKKK OINKKKKK OINKKKK!
Le captain Bonhomme vous reviendra les enfants!

Elle est super bonne ton histoire.

je me bidonne à te lire

"Me voila donc, tel un léger papillon, gracieux dans mes courbes parfaites, m'envolant pour l'autre rive! " ;wow; :roll:
















































































OINKKKK OINKKKKK OINKKKK!

ah ah ah......

on veut la cloture là.......

elle est passée où???

:super: t'es bon, continu...

Y a des sceptiques quant à ma grâce bondissante?????

ajouter un scénario a cette histoire et on a une bonne piece de théatre

Ouais....ou un drôle de vidéo...pour les autres!

Donc, on revient, tout gaillards d'une bonne chasse finalement. Moi, avec une oie, j'en ai en masse pour satisfaire la grosse dent de Fabi, pis le beau-frère avec ses 8 a sa charge. Mais en entendant les nouvelles oies, l'excitation de la chasse nous reprend instantanément. Le beau-frère me fait signe de m'accroupir afin d'éviter d'éveiller la méfiance des oiseaux. Nous nous agenouillons immédiatement et j'entreprend sans délai la lourde tâche de réarmer mon arquebuse. Lorsqu'enfin, j'ai pu remettre en place tous les morceaux après avoir introduit la balle dans le canon, les oies qui filent toujours droit sur nous se sont beaucoup rapprochées. Lorsqu'enfin, elles sont à portée de tir, il est temps pour moi d'épauler mon arme. Je ne fais que débuter mon geste lorsque je reçois la décharge électrique de ma vie! BZZZZTTTTTTT! Sur le moment, à moitié assomé, je ne comprends pas pantoute ce qui m'arrive! La calvazuse de clôture en profite pour m'en refoutre un grand coup! BZZZTTTT! Sainte Bénite, elle est branchée sur le 220 minimum la salope! Calvase que ça fesse (frappe pour les Français)! Mais là.....je suis complètement perturbé et la réflexion semble être au très très ralenti! Faque...BZZZZTTTTT, pis reBZZZZZZZTTT. Pis ReReBZZZZZZZTTTTTTT. Sacrement.....ça va tu me lâcher c't'estie de patente là? J'essaie de comprendre! Il me revient à l'esprit que des clôtures électriques étaient installées de chaque côté BZZZZTTTT de ce chemin qu'emprunte chaque jour les vaches pour la traite BZZZZZZTTTTTTT! Mais sapré bordel, nous marchions bien trop loin BZZZZZZZTTTTT de cette maudite clôture pour que je sois assis dessus! BZZZZZZZTTTTT! Là, mon regard la cherche cette foutue clôture! BZZZZZZZZZZZZTTT Simonac, on dirait que plus je me fais électrocuter, plus le courant augmente! BZZZZZZZTTTT! Là, je commence à paniquer et j'essaie de me relever! BZZZZZZTTTTTT! Mais bon dieu de merde, je n'y arrive pas! BZZZZZZTTTT! Je pousse comme un diable sur mes jambes pour tenter de me sortir de cette estie de connerie, mais BZZZZTTTTTT il y a quelque chose qui me tient. Pis là, ben, ça commence à me faire un drôle d'effet BZZZZZZZTTTTT cette électrocution! Je me sens tout chose, genre flagada soinsoin. Me semble que j'affaibli! BZZZZTTTTT! Plus ça va, pis plus la panique me courcircuite le ciboulot! BZZZZZZZZTTTT! J'ai de la difficulté à réfléchir de manière cohérente! C'est alors BZZZZZTTTTTT que je me souviens que l'estie de beau-frère est juste à côté de moi! Paniqué ben raide BZZZZZZZTTTT, je lui lance un regard suppliant! La, LA RAGE s'empare de moi! Ce salopard de merde de gros estie de con est debout à côté de moi BZZZZZZZZZZTTTTT, il me regarde et est cassé en deux, mort de rire! Mais, perso, il y a déjà un sacré moment que je ne la BZZZZZZZTTTTTT trouve plus drôle pantoute! Là, je songe enfin à regarder qu'est-ce qui me retient comme ça que je n'arrive pas à me relever! BZZZZZZZZTTTTTT! BORDELLLLL! C'est mon canon de fusil qui est en contact avec le fil de la clôture! BZZZZTTTT Je me met donc à tirer sur l'arme comme un désespéré BZZZZZZZZZTTTT afin d'éliminer ce maudit contact! Mais je t'en fout! On jurerais BZZZZTTTTTTT que cte maudit canon là est soudé à la broche! BZZZZZZTT! Depuis un moment, je sens qu'il se passe de drôle de chose du côté de mon coeur! Pas que je sois en train de vivre une histoire d'amour je vous BZZZZZZZZZZTTTTTT jure! Me semble qu'il ne bat plus trop bien! Ce saint cibole de cultivateur n'aurait pas pu espacer un peu ses christ de décharges élec BZZZZZZZZTTTTTtriques pour me donner un peu de temps entre deux! Je le hais en cet instant pour le battre! BZZZZZTTT Idem pour l'estie de gros con à côté de moi! BZZZZZZTTTTT Me rendant bien compte que je ne peux compter sur personne d'autre que moi-même BZZZZTTTT pour me démerder, je fous la panique au placard et pose un regard BZZZTTTTTTT attentif sur mon foutu canon! Je tire pour le dégager, comme BZZZZTTTTT je faisais et me rend compte que le fusil étant en dessous de la clôture, lorsque je tire, le guidon, qui sert BZZZTTTTTTT à viser, au bout du canon, s'accroche solidement`au fil et retient ce canon bien branché! BZZZZZZZZTT Ce n'est qu'alors que je comprends que je dois non pas lever, mais baisser ce BZZZZZZZZZTT maudit canon pour me délivrer! Je le baisse enfin avant de le ramener à moi prudemment. OUFFFFFFFFFFF!!!!!
Mais....je me sens vraiment mais vraiment pas bien du tout! Il me semble que le coeur à perdu son rythme normal et bat n'importe comment! J'ai les genoux qui s'entrechoquent, les jambes comme de la guenille. Je regarde le beau-frère dans les yeux, je n'ai pas besoin d'en faire plus, il comprend très précisément ce que je veux lui dire! Il adopte un profil bas! C'était définitivement ce qu'il avait de mieux à faire pour sa sécurité! J'ai toujours plein de chevrotine qui sommeille dans le canon!
Jamais eu hâte comme ça d'atteindre un véhicule automobile pour y poser mes fesses flageolantes comme une grosse masse de jello pas trop concentré! Même rendu à la maison, mon rythme cardiaque ne s'est pas encore stabilisé! M'a fallu pas mal de temps pour récupérer!
Depuis....j'évite la chasse, ce qui me tiens loin des clôtures, quelles qu'elles soient!