les bides

ben ouais!
les bides!
Pourquoi pas après tout parler aussi des trucs illisibles?

C'est rare que je ne termine pas un bouquin. Ou alors c'est dès le tout début. En général, une fois que je suis dedans, j'ai des scrupules à arrêter même si j'aime pas parce que j'ai toujours l'espoir que ça va s'arranger ou qu'il va se passer enfin quelque chose!!! Et pis parce que je suis curieuse!

Ben là, page 100 passée, je sens bien que je vais pas pouvoir continuer à me morfondre et que ce qu'il peut bien arriver à ces 4 clampins qui se sont retrouvés par hasard en haut de la tour du saut un 31 décembre, j'en ai vraiment strictement rien à faire!!!!! Ils sont insupportables et en plus, c'est même pas bien écrit!
Même pas un bouquin de bord de plage ou de piscine!

Vous descendez? de Nick Hornby

y en a d'autres que j'ai jamais pu lire :

L'île du jour d'avant, d'Umberto Ecco
Le dernier Pennac, le dictateur et le hamac, mais je l'ai déjà dit :chut:

pis d'autres encore où j'ai vraiment forcé: ;ooops;

Un enfant de la balle de John Irving,
Le testament français d'Andreï makine,
Le rocher de Tanios, d'amin Maalouf

....

Alors là, ça va balancer ! :fendubois:
Déjà, un prix Nobel, zou ! Albert Cohen dont le "Belle su Seigneur" m'a fait chier comme jamais. Y'a quand même au début du bouquin un type qui taille son crayon pendant 20 pages en s'interrogeant sur sa condition de petit fonctionnaire dans une ambassade. Lu 100 pages, héroïque !
Et puis son personnage récurrent, Solal, insupportable de suffisance et de judaïté judaïtante. Dans le genre judaïsme exhibé mais avec lequel on prend son pied, se faire plaisir avec Philip Roth (un pote à Woody Allen, paraît).
Un autre, porté au pinacle, que je supporte pas : Jean Genet ! J'ai tenté "Notre Dame des Fleurs", réussi la moitié et basta. Restent dans ma bibli "Haute surveilance " et "Journal du voleur", achetés en même temps et jamais ouverts.

D'accord avec toi, Isa, pour "L'île du jour d'avant" d'Umberto Ecco, totalement indigeste alors que j'avais adoré "Le nom de la rose" et bien aimé "Le pendule de Foucault".
Pareil pour "Un enfant de la balle" d'Irving, en bout de course alors que j'avais dévoré les précédents avec mention spéciale pour "Le monde selon Garp" et "Une prière pour Owen" et un beurk pour "Liberté pour les ours" qui ne présente aucun intérêt.
En règle générale, les anglo-saxons que je connais sont, dès qu'ils ont du succès, dépassés par celui-ci, se sentent obligés de produire et leurs ouvrages perd progressivement de l'intérêt pour devenir parfaitement insipides.
Paul Auster, génial dans "La musique du hasard" et "Le voyage d'Anna Blum", moyen dans "Léviathan" ou "Monsieur Vertigo" et nul dans "Brooklyn folies".
William Boyd, extra dans "Un anglais sous les tropiques" et "Les nouvelles confessions", déclinant progressivement pour devenir quasi illisible dans "Armadillo"
Dans le polar, Patricia Corwell qui te faisait te ronger les ongles jusqu'au coude dans ses premiers Kay Scarpetta et qui, au rythme d'un roman par an, donne 10 ans plus tard dans le roman de gare baclé.

Vive les détestations ! :*jackot*:

'tain ksa fait du bien!!!!

Paul Auster, j'arrive pas!
William Boyd, j'ai pas lu ceux-là mais y en a que j'ai pas pu lire aussi!!!!
Irving : t'as oublié l'épopée du buveur d'eau :super: .
Mes préférés : une prière pour Owen et l'oeuvre de Dieu la part du diable

j'mettrais bien le dernier Irving mais on peut pas dire que je l'ai lu!

En revanche, le dernier Marc Lévy, c'est sûr que c'est le plus mauvais de tous!
"mes amours, mes amis" : aux chiottes!

J'ai jamais rien lu de Marc Lévy.
J'aime pas les effets médiatiques et c'est pour ça que je n'ai lu Houellebecq que très récemment (c'est pas mal mais ça vaut sûrement pas tout le battage qu'on a fait autour).

ben lis pas! chui sûre que ça te plaira pas!