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| | encore des jockes | |
| | Auteur | Message |
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Lalou Langue pendue
Nombre de messages : 945 Localisation : Québec Date d'inscription : 07/05/2009
| Sujet: encore des jockes Mar 9 Juin - 19:32 | |
| Une femme se rend au bureau du journal local pour faire publier l'annonce de son mari qui vient de décéder. Le responsable dit : « Pour placer une annonce, il y a des frais de 0,50 $ par mot. »
La dame réfléchit un peu et dit : « D'accord, dans ce cas, inscrivez ceci : --Décédé : Fred Brown.-- »
Le responsable, amusé par la tentative d'économie de la dame, il ajoute : « Chaque annonce doit avoir au minimum 8 mots !
- Oh ! Dans ce cas, inscrivez : --Décédé : Fred Brown. Bâtons de golf à vendre.-- »
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| | | Lalou Langue pendue
Nombre de messages : 945 Localisation : Québec Date d'inscription : 07/05/2009
| Sujet: Re: encore des jockes Mar 9 Juin - 19:37 | |
| Sourire garanti, surtout quand on sait que c'est une histoire vraie :
> Le 20 juillet 1969, en tant que commandant du module lunaire Apollo
> 11,
> Neil Armstrong fut la première personne à poser le pied sur la lune.
> Ses premières paroles après avoir marché sur la lune : C'est un
> petit
> pas pour l'homme, mais un grand pas pour l'humanité ont été
> retransmises
> sur terre et entendues par des millions de personnes.
> Mais juste avant de rentrer dans la capsule, il fit cette
> énigmatique
> remarque : Bonne chance, M Gorsky.
> Beaucoup de gens de la NASA pensèrent qu'il s'agissait d'une
> remarque
> gratuite à propos d'un cosmonaute soviétique rival. Pourtant, après
> vérification, il s'avéra qu'il n'y avait aucun Gorsky dans
> le programme spatial russe ou américain. Pendant des années,
> beaucoup
> de
> gens demandèrent a Armstrong ce que le bonne chance, M Gorsky
> signifiait,
> mais Armstrong se contentait de sourire.
>
> Le 5 juillet 1995, à Tampa Bay en Floride, alors qu'il répondait à
> des
> questions après un discours, un reporter lui posa la fatidique
> question
> toujours sans réponse depuis plus de 26 ans. Cette fois, finalement,
> il
> répondit.
> M.Gorsky était mort et Neil Armstrong pensa qu'il pouvait répondre à
> la
> question.
>
> En 1938, lorsqu'il était enfant, dans une petite ville du Middle
> West,
> il
> jouait au base-ball avec un ami dans l'arrière-cour. Son ami frappa
> une
> balle qui atterri dans le jardin de ses voisins, près de la fenêtre
> de
> la chambre.
>
> Ses voisins étaient M et Mme Gorsky. Alors qu'il se baissait pour
> ramasser
> la balle, le jeune Armstrong entendit Mme Gorsky crier à M Gorsky :
> Une
> pipe ??!! Tu veux que je te fasse une pipe ??!! Je te ferai une pipe
> le
> jour
> ou le gamin d'à coté marchera sur la lune !
>
>
> | |
| | | Lalou Langue pendue
Nombre de messages : 945 Localisation : Québec Date d'inscription : 07/05/2009
| Sujet: Re: encore des jockes Mar 9 Juin - 19:37 | |
| Sourire garanti, surtout quand on sait que c'est une histoire vraie :
> Le 20 juillet 1969, en tant que commandant du module lunaire Apollo
> 11,
> Neil Armstrong fut la première personne à poser le pied sur la lune.
> Ses premières paroles après avoir marché sur la lune : C'est un
> petit
> pas pour l'homme, mais un grand pas pour l'humanité ont été
> retransmises
> sur terre et entendues par des millions de personnes.
> Mais juste avant de rentrer dans la capsule, il fit cette
> énigmatique
> remarque : Bonne chance, M Gorsky.
> Beaucoup de gens de la NASA pensèrent qu'il s'agissait d'une
> remarque
> gratuite à propos d'un cosmonaute soviétique rival. Pourtant, après
> vérification, il s'avéra qu'il n'y avait aucun Gorsky dans
> le programme spatial russe ou américain. Pendant des années,
> beaucoup
> de
> gens demandèrent a Armstrong ce que le bonne chance, M Gorsky
> signifiait,
> mais Armstrong se contentait de sourire.
>
> Le 5 juillet 1995, à Tampa Bay en Floride, alors qu'il répondait à
> des
> questions après un discours, un reporter lui posa la fatidique
> question
> toujours sans réponse depuis plus de 26 ans. Cette fois, finalement,
> il
> répondit.
> M.Gorsky était mort et Neil Armstrong pensa qu'il pouvait répondre à
> la
> question.
>
> En 1938, lorsqu'il était enfant, dans une petite ville du Middle
> West,
> il
> jouait au base-ball avec un ami dans l'arrière-cour. Son ami frappa
> une
> balle qui atterri dans le jardin de ses voisins, près de la fenêtre
> de
> la chambre.
>
> Ses voisins étaient M et Mme Gorsky. Alors qu'il se baissait pour
> ramasser
> la balle, le jeune Armstrong entendit Mme Gorsky crier à M Gorsky :
> Une
> pipe ??!! Tu veux que je te fasse une pipe ??!! Je te ferai une pipe
> le
> jour
> ou le gamin d'à coté marchera sur la lune !
>
>
> | |
| | | Lalou Langue pendue
Nombre de messages : 945 Localisation : Québec Date d'inscription : 07/05/2009
| Sujet: Re: encore des jockes Mar 9 Juin - 19:48 | |
| Lisez attentivement
> Les personnes de plus de 40 ans devraient être mortes (intéressant)
> En se basant sur les standards actuels, les sociologues croient que les
>baby boomers qui étaient des enfants pendant les années 1940 à 1960 ne
>devraient plus être vivants...
> Nos berceaux aux couleurs vives étaient couverts de peinture à base de
>plomb.
> Rien ne nous empêchait d'entrer une fourchette dans une prise électrique.
> Il n'y avait pas de couvercles ou de bouchons de sécurité à l'épreuve des
>enfants sur les bouteilles de médicaments, portes et armoires.
> Lorsque nous nous promenions à bicyclette, nous ne portions jamais de
>casques.
> Nous faisions tous de l'auto-stop.
> Nous voyagions en auto avec nos parents sans jamais porter de ceinture de
>sécurité et l'auto n'était pas équipée de sacs gonflables.
> Prendre une " ride ", assis dans la boîte d'un pick-up pendant une chaude
>journée d'été, c'était " normal ".
> Nous buvions de l'eau directement du boyau d'arrosage du jardin et non
>d'une bouteille. Horreur !!!
> Nous mangions des gâteaux, du vrai pain, du beurre et des boissons
>gazeuses avec du vrai sucre, mais nous n'étions jamais obèses parce que
>nous passions tout notre temps à jouer dehors.
> Nous partagions une b outeille de Pepsi avec quatre de nos amis en buvant
>directement de la bouteille et personne n'en est mort.
> Nous passions des heures à bâtir des " go-carts " à partir de rebuts et
>ensuite nous descendions une grande côte pour nous apercevoir, rendus en
>bas, que nous avions oublié d'installer les freins. Après avoir dérapé dans
>les buissons une couple de fois, nous apprenions à résoudre leproblème.
> Nous sortions de la maison le matin et jouions toute la journée dehors en
>autant que nous étions de retour avant que les lampadaires s'allument.
>Personne ne pouvait nous rejoindre de la journée. Pas de cellulaire ni de
>télé-avertisseur... Impensable !
> Nous ne connaissions pas les Playstation, Nintendo 64, X-Boxes, ni les
>jeux vidéo, il n'y avait pas 99 canaux sur le câble, pas de vidéo, pas de
>téléphone cellulaire, pas d'ordinateur ou de " chat " internet. Nous avions
>des amis ! Nous allions dehors et ils étaient là !
>Pourtant, personne n'était poursuivi pour tout ça. C'étaient seulement des
>accidents. Personne n'était à blâmer, sauf nous-même. Vous vous souvenez
>des " simples accidents" ?
> Nous nous battions à coups de poing. Nous en récoltions des yeux au beurre
>noir et nous apprenions à passer ensemble au travers de nos disputes.
> Nous inventions des jeux avec des bâtons et des balles de tennis.
> Nous mangions des vers de terre et des tartes " à la bouette " et malgré
>les avertissements, aucun poil supplémentaire n'a " poussé " dans notre
>visage et les vers de terre ne sont pas restés dans notre estomac pour
>toujours.
> Nous allions chez des amis sans d'abord leur téléphoner, frappions à la
>porte, ou entrions simplement dans la maison pour jouer avec eux.
> En classe, quelques élèves n'étaient pas aussi doués que les autres ?
>alors ils ne réussissaient pas leur année et devaient simplement la
>recommencer. Horreur !
> Les résultats des tests n'étaient jamais " ajustés " pour aucune raison.
> Nos actions étaient les nôtres et nous en connaissions les conséquences.
> Finalement, cette génération a produit les plus grand «preneurs de
>risques» de tous les temps. Les dernières 50 années ont produit une
>explosion d'inventions et de nouvelles idées. Nous avions la liberté, les
>succès, les échecs, la responsabilité et nous avons appris à vivre avec
>tout ça. | |
| | | Lalou Langue pendue
Nombre de messages : 945 Localisation : Québec Date d'inscription : 07/05/2009
| Sujet: Re: encore des jockes Mar 9 Juin - 19:52 | |
| Le jour où j'ai fait un fou de moi!" > > J'étais sur la 20, partant de Montréal, en direction de Québec et je décide > d'arrêter dans une halte routière pour aller aux toilettes. > > La première était prise, j'entre dans la deuxième. Je suis pas aussitôt > assis sur le bol que j'entends une voix qui vient de l'autre toilette. > > - Salut, comment ça va ? Bon, je suis pas trop le genre à fraterniser dans > les toilettes des haltes routières, je sais pas trop ce qui m'a pris, mais > enfin, je répond, un peu embarassé: - Pas pire... > > Et l'autre qui dit: - Pis, qu'est-ce que tu fais de bon ? Tu parles d'une > question ? Là, je commençais à trouver ça bizarre > un peu, alors, je lui dit: - Chu comme toi, m'en va vers l'est... > > Là, j'entend le gars dire, tout énervé: - Écoute, je te RAPPELLE, y'a un > innocent à côté qui répond à toutes mes questions ! bye! | |
| | | Lalou Langue pendue
Nombre de messages : 945 Localisation : Québec Date d'inscription : 07/05/2009
| Sujet: Re: encore des jockes Mar 9 Juin - 19:55 | |
| Beau père
>> > > Une femme se réveille pendant la nuit et constate que son mari
>> > > n'est pas au lit. Elle enfile son peignoir et descend voir ou il est. Elle le
>> > > trouve dans la cuisine, assis devant une tasse de café. Il parait bouleversé
>> > > et fixe le mur. Elle le voit essuyer une larme. Qu'est-ce qui ne va pas
>> > > chéri ? Le mari lève les yeux de son café, il lui demande solennellement
>> > > " Tu te souviens il y a 20 ans, quand on s'était donné rendez-vous, tu
>> > > n'avais alors que 16 ans ? " Oui je m'en souviens " répond-elle. Le mari fait
>> > > une pause, les mots lui viennent difficilement. "Te souviens-tu que ton père
>> > > nous a surpris entrain de faire l'amour à l'arrière de sa voiture de police ? Oui
>> > > >je m'en souviens " dit la femme en s'asseyant à ses cotés. Le mari continue.
>> > > >" Te souviens-tu, quand il a pointé son flingue sur ma tempe et qu'il a dit: ou tu épouses ma fille, ou je t'envoie en tole pour 20 ans " " Je m'en souviens aussi " répond-elle doucement. Il essuie une autre larme et dit: >> > > >J'aurais été libéré aujourd'hui!!! | |
| | | Lalou Langue pendue
Nombre de messages : 945 Localisation : Québec Date d'inscription : 07/05/2009
| Sujet: Re: encore des jockes Mar 9 Juin - 20:00 | |
| Bienvenue au Québec >> Un Kosovar arrive à Montréal. Tout excité, il arrête le >>premier passant qu'il rencontre: >> >> "Bonjour, monsieur québécois, merci accueillir moi dans beau >>pays à vous et..." >> >> Son interlocuteur l'interrompt: >> >> "Hé, hé, je ne suis pas québécois, je suis Marocain!" >> >> Le Kosovar poursuit donc sa route et apostrophe un autre >>passant un peu plus loin: >> >> "Ah, merci, monsieur québécois, vous laisser famille moi >>rester ici..." >> >> À nouveau, il est interrompu avant d'avoir terminé sa >>phrase: >> >> - "Moi pas québécois, moi Turc!" >> >> Le Kosovar continue son chemin et interpelle à nouveau le >>passant suivant: >> >> "Monsieur le québécois, moi remercier pour hospitalité >>vous." >> >> "Mais mon ami, tu ne vois pas que je suis Noir? Je suis >>Congolais, pas québécois." >> >> - "Mais", répond le Kosovar dépité, "où sont québécois >>alors ?" >> >> Le Congolais regarde sa montre et répond: >> >> "Oh, eux ils travaillent jusqu'à 17h..." | |
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| Sujet: Re: encore des jockes | |
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