Avez-vous vu?

Au lien un clapier fort intéressant...wow!

http://www.lacoop.coop/cooperateur/articles/2009/01/p60.asp

merci cot cot pour se lien :super:

Va falloir en faire du lapin pour rentabiliser cela...

Merci de l'article. Très intéressant

Valérie,

Ça fait plaisir...et ça donne des idées... ...de grandeur!

Le forestier,

Tu as bien raison...ça en prend du lapin pour rentabiliser un clapier comme celui-là. J'aurais bien aimer que l'article nous informe sur la mise en marché utilisé...faut croire que ce n'est pas le but de l'article...

Pour Cot Cot
Cette information date un peu, mais à tout venant, je te la fournis. L'UPA à Longueuil a un département "lapins". J'ai déjà eu 100 femelles et j'ai mis fin à mon entreprise après quelques mois faute de mise en marché et de prix... (Tiens donc! C'est nouveau qu'en petite production on ne trouve pas un prix de revient suffisant!) D'abord, il n'y avait qu'un seul abattoir au Québec pour les lapins, à La Pocatière, si ma mémoire est bonne. Plus de 500 milles pour les faire abattre. Tu parles! J'ai écoulé mon cheptel «su'a sly» comme on dit en les vendant à des particuliers autour de chez moi. Avec ce genre de clientèle, on peut difficilement assurer une production constante. Et comme on ne peut pas avoir le seau de salubrité gouvernemental exigé, on ne peut pas vendre dans les commerces d'alimentation. En conclusion, il faudrait revoir avec l'UPA les dernières informations sur le sujet. Et comme d'habitude, comme le souligne implicitement l'article de cette excellente revue, il faut être très gros pour vivre d'un clapier. Jean-Claude

Quel race de lapin avais-tu gentilclaude?Je crois que la plupart des propriétaire de lapins qui sont sur ce forum font plutot ca pour le plaisir.C'est vrai que c'est dure de vivre de cela quand ont est petit car moi je ne réusis pas a payer les dépense j'arrive au négatif.Mais c'est la première année que j'ai autant de lapine mais j'ai quelque client qui vont revenir cette année ont verra bien

Moi j'arrivait a me faire de l'argent de poche avec quelques lapines, mais aucune moulée chez moi, que du foin et reste de légume, je vendait les petits a 2 mois, donc pour moi la moulée était inutiles

gentilclaude,

Merci pour le infos concernant ton expérience de mise en marché.

Pour notre plaisir nous avons 4 sujets Géant des Flandres; 2 mâles et 2 femelles qui sont présentement en reproduction. Pour le moment nous ne fournissons pas à la demande mais c'est très bien comme ça.

Il y a un abattoir pour les lapins à St-Agapit (compté de Lotbinière).

Comme nous sommes en production laitière l'idée d'un gros clapier n'est pas pour nous...; à moins que la piqure nous pogne de vendre les vaches et le quota...

Ont peu vendre sur la sly....mais sinon il faut un quota...pis tout le trouble qui va avec, au dernière nouvelle il faut faire abbatre les lapins en Ontario, et ils ont des congélateur plein de lapins car la mise en marché est toujours aussi ardu, Le Québecquois moyen voit dans le lapin un animal de compagnie, impensable de manger un lapin,,,pas plus que le chat.

Le gros de la clientéle est dans le coin de Montrèal, ceux qui viennent des vieux pays et qui ont dans leurs culture la consommation du lapin.

Moi j'ai mie une annonce sur les pacs et j'ai trouver un client qui m'a prit 40 lapins en 2008 et il veut que je le rapelle en 2009 alors je suis très heureuse.

Merci d'avoir corrigé mes informations. Il m'arrive souvent de m'emmêler les poils de barbe. Ce doit être l'âge...
Cependant, je suis peiné de constater que rien n'a changé fondamentalement dans la mise en marché du lapin. Ce qui me fait penser à la production acéricole. Quosse qu'y s'passe, bordel de chiard, au sein du fonctionnariat public (ou aux seins? à la quantité d'actions incompétentes de quelques-uns de nos fonctionnaires, il faut se demander si leur situation «nichonnée» n'est pas trop confortable...). Excusez cette montée de lait
Pour répondre à Valérie qui me demande quelle race de lapins j'avais, j'affirme haut et fort que je n'élevais que des bâtards et quelques béliers. Je m'arrangeais pour qu'ils aient à peu près le même poids à l'abattage. Quelle ne fut pas ma surprise d'apprendre qu'on préfère le lapin blanc albinos à tout autre pour la simple raison que ses poils blancs qui restent sur la carcasse après l'abattage sont moins apparents que ceux de couleur
J'avais commencé à garder dans un enclos quelques lapins en semi-liberté. C'était pour le plaisir des yeux et des nombreux enfants qui venaient jouer avec eux. Nous avons bien couru après des évadés, mais règle générale, quand les barrières restaient fermées, ils étaient bien contrôlés. Même en hiver quand la neige dépassait les clôture, ils restaient dans le parc à cause de la disponibilité de la nourriture. Pour éviter qu'ils se creusent des tunnels sous les clôtures, je leur avais fait des tunnels artificiels en joignant en 90 degrés quelques vieux bouts de planche. Au moindre danger, ils se précipitaient sous ces abris. Comme j'en avais fait quelques-uns, ils se les étaient appropriés en fonction de familles. Mais!
J'étais ignare. Je ne savais pas que les mâles pouvaient se castrer entre eux. Je voyais souvent des lapins sauter dans les airs comme des fous à certaines occasions pensant que c'était un jeu de société. Oh non! Ils sautaient pour se castrer et ils y réussissaient très bien. Quand j'ai découvert ce fait, je les ai mis en cage et c'est ainsi que j'ai parti graduellement mon élevage. J'ai eu la chance d'acheter tout un équipement et mon ambition naturelle a fait en sorte que je me suis lancé inconsidérément dans l'aventure du clapier sans prendre toutes les informations nécessaires, dont celle du lieu d'abattage et de l'organisation de la mise en marché faite par l'UPA.
En passant, et depuis, j'ai découvert l'Union paysanne, qui malgré le peu de moyens mis à sa disposition accomplit un travail incroyable pour aider les petits producteurs.
En résumé, je vais répéter l'expérience des lapins en enclos, mais sévèrement contrôlé après les naissances. C'est formidable. Si, en plus, on prend la peine d'enfouir une clôture à porc (récupérée) de quelque 40 cm dans le sol, qu'on y greffe une clôture à poule avec un grillage de 2.5 cm et qu'on bâtit des tunnels artificiels, le tout organisé de telle façon qu'on puisse l'agrandir au besoin, ¸ça vous permet d'ouvrir un nouveau jardin sans travail et déjà fumé. (Je suis un jardinier paresseux qui a profité du talent de ses chèvres à dévorer les «fardoches», du talent de ses porcs à bouleverser la terre et du talent des lapins à tout ronger ce qui restait pour se créer un jardin de plus d'un acre. Vive la paresse! ). Laissez-moi vous dire que faire un peu de clôture graduellement est bien moins fatigant que de s'attaquer à la «fardoche» au sécateur ou à la scie à chaîne, de se faire tracter par un rotoculteur qui peine à défoncer le sol, à creuser pour arracher les grosses roches, etc. Ce n'est pas de la procrastination, ce n'est que de la bienheureuse paresse élevée au niveau de vertu que d'agir ainsi vive moi
Jean-Claude

Jean-Claude

Je trouve que tu as une très bonne philosophie de la vie, et la préparation de ton jardin est géniale :thumright: En plus tu racntes ça très bien.
Il parait que les oies sont aussi très bien pour manger les mauvaises herbes. Quelqu'un en a-t-il l'expérience?

Merci et bonne journée :vach:

Ps : définition d'une mauvaise herbe : c'est une plante dont on n'a pas encore touvé l'utilité.
PPS : attention aux charmes du diable (= UPA ) :twisted:
Nous avions une petite framboisière. Naîfs et abusés par les beaux discours, nous avons tout fait dans les règle. L'année ou nous avons déclaré à peine plus que 5000$ de revenu brut de la framboisière dans nos impôt, l'UPA nous est tombé dessus avec une facture de 527$ de cotisation obligatoire, renouvelée tous les ans peut-importe le revenu des années suivantes (toujours inférieur à 5000$). Pour finir ils nous réclamaient une facture de plus de 4000$ et nous menaçaient de saisie. Nous avons reussi à règler pour un montant de 700$ hors cours en les menaçant de publiciser notre cas. Comme vous voyez, ce n'est pas facile de sortir le yable à coût de fourches et d'ail une fois qu'il s'est installé chez vous, mais nous y sommes arrivés. :*furia*:
Morale : nous ne sommes pas prêts de déclarer à nouveau des revenus agricoles :alasoupe:

Bonjour Flo

Quelle histoire. Et malheureusement, elle ressemble à tant d'autres que j'ai entendues en région.

C'est pour ça que je fais la promotion de l'Union paysanne et de la mise sur pied de petits marchés publiques gérés sous forme coopérative. Nous en avons deux (Lac-Mégantic et Sherbrooke) qui fonctionnent de cette façon. Il y a les produits de base et les produits transformés qui y sont proposés. C'est génial

Passe une bonne journée et de gros bonjour à tout le monde

Jean-Claude